From 1 - 10 / 81
  • Un élément hydrographique de surface correspond à une unité surfacique contenant un milieu aquatique superficiel : - les zones couvertes d'eau douce permanente ou non permanente, - les zones couvertes d'eau salée permanente ou non permanente, - les glaciers, névés. et dont les caractéristiques (attributs) sont homogènes. Un élément surfacique est localisé par une face. Certains attributs sont gérés par l'IGN : Nature, type

  • Service WFS - L’inventaire de la macrofaune benthique constitue l’objectif principal de ce travail. La couche vectorielle présente pour chacune des 45 stations : - la richesse spécifique, S (nombre d'espèces); - les valeurs de densité, D (ind./m²); - les valeurs de biomasse, B (g/m²); - l'indice de Shannon, H' (bits) traduisant la structure du peuplement en prenant compte la répartition plus ou moins équitable des densités entre les espèces; - l'indice de Piélou, J' (%) complétant l'indice de Shannon; - l'analyse de la structure trophique.

  • Service WFS - Ce fichier rassemble toutes les emprises commandées par les services de l'Etat.

  • Service WFS - Ce fichier rassemble toutes les emprises commandées par les services de l'Etat.

  • Service WFS - Les zones RAMSAR sont des zones humides d'importance internationale découlant de la Convention RAMSAR : ce traité intergouvernemental, signé le 2 février 1971 à Ramsar (Iran) et ratifié par la France en 1986, est relatif aux zones humides d'importance internationale particulièrement comme habitat des oiseaux d'eau. Les zones humides entendues au sens de la Convention de Ramsar sont "des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d'eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires, où l'eau est stagnante ou courante, douce, saumâtre ou salée, y compris des étendues d'eau marine dont la profondeur à marée basse n'excède pas six mètres".(Définition issue de : ATEN, fiches juridiques 2005)

  • Service WFS - Ce fichier rassemble toutes les emprises commandées par les services de l'Etat.

  • Service WFS - La couche vectorielle représente la localisation des stations de prélèvements pour l'étude de l'inventaire de la macrofaune benthique.

  • Service WFS - La zone d’aménagement concerté (ZAC) est une procédure d’urbanisme opérationnel, prévue aux articles L. 311-1 et suivants du code de l’urbanisme, qui permet aux collectivités publiques ou aux établissements publics y ayant vocation, de réaliser ou de faire réaliser des opérations d’aménagement urbain. Une ZAC ne peut être créée que sur initiative publique ; en revanche, sa réalisation peut être confiée à un aménageur public ou privé.

  • "Harbour Information" product contains 13 object classes, the acronyms used are those of IHO standard S-57 - International Hydrographic Organization – (https://iho.int/): - Berth (BERTHS): place in which a ship is moored at wharf - Isolated building localizing a harbour office (BUISGL) - Checkpoint (CHKPNT) - Crane (CRANES) - Floating dock (FLODOC): floating structure of one or more sections which can be partly submerged by controlled flooding to receive a vessel, then raised by pumping out the water so that the vessel's bottom can be exposed for maintenance. - Gridiron (GRIDRN): structure in the intertidal zone serving as a support for vessels at low tide to permit work on the exposed portion of the vessel's hull. - Harbour area (HRBARE) : administrative area of a port, including all docking and handling facilities, as well as short-term storage facilities. - Harbour facility (HRBFAC) - Hulk (HULKES) : hull of a wrecked or condemned ship, from which the fittings and superstructure have usually been removed, which is moored in a permanent position or grounded. - Oil barrier (OILBAR) - Pilot boarding place (PILBOP) - Rescue station (RSCSTA) - Small craft facility (SMCFAC) Detailed definitions of each of these object classes can be found in the S-57 standard (https://iho.int/en/standards-and-specifications). An online catalog is available at http://www.s-57.com/. Some of the symbols used for display on data.shom.fr portal have been adapted from icons from the OpenSeaMap open library (https://github.com/OpenNauticalChart/).

  • Une masse d'eau souterraine est un volume distinct d'eau souterraine à l'intérieur d'un ou de plusieurs aquifères, constituant le découpage élémentaire des milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la DCE. Elle permet de définir les objectifs environnementaux, d’évaluer l’état des milieux et ultérieurement de vérifier l’atteinte de ces objectifs. Les masses d'eau souterraine, s’appuyant sur les travaux réalisés sur le référentiel hydrogéologique BDRHF V1 ont été identifiées et délimitées pour la première fois en 2004 puis ont été mises à jour en 2010. Elles ont fait l’objet du rapportage à la Commission Européenne sur la mise en œuvre de la DCE le 22 mars 2010, puis d’un rapportage correctif en février 2011, prenant ainsi en compte les dernières mises à jour. Une version provisoire définie pour l'état des lieux 2013 à été publiée en 2015. La version désormais diffusée sur le site du SANDRE est conforme au rapportage de 2016 . La prochaine version du référentiel Masse d’eau (masses d’eau provisoires, définies pour l’Etat des Lieux) est prévu pour 2019. Les couches sont diffusées dans un format conforme au dictionnaire de données SANDRE du Référentiel masse d’eau, version 1.3. Le découpage retenu pour les masses d’eau répond aux quelques grands principes exposés ci-après : Les masses d’eau sont délimitées sur la base de critères géologiques et hydrogéologiques, Le redécoupage des masses d’eau pour tenir compte des effets des pressions anthropiques doit rester limité. Les limites des masses d’eau doivent être stables et durables A l’image des masses d’eau superficielle, la délimitation des masses d’eau souterraine est organisée à partir d’une typologie. Cette typologie s’inspire largement de celle élaborée pour les entités hydrogéologiques définies dans le cadre de la révision de la BD RHF. Elle est basée sur la nature géologique et le comportement hydrodynamique ou fonctionnement « en grand » des systèmes aquifères (nature, vitesse des écoulements). Elle comprend deux niveaux de caractéristiques, principales et secondaires. Les masses d’eau peuvent avoir des échanges entre elles. Tous les captages d’Alimentation en Eau Potable, fournissant plus de 10 m3/jour d’eau potable ou utilisés pour l’alimentation en eau de plus de 50 personnes, doivent être inclus dans une masse d’eau. Les eaux souterraines profondes, sans lien avec les cours d’eau et les écosystèmes de surface, dans lesquelles il ne s’effectue aucun prélèvement et qui ne sont pas susceptibles d’être utilisées pour l’eau potable en raison de leur qualité (salinité, température…), ou pour des motifs technico-économiques (coût du captage disproportionné) peuvent ne pas constituer des masses d’eau. Compte tenu de sa taille, une masse d’eau pourra présenter une certaine hétérogénéité spatiale tant au niveau de ses caractéristiques hydrogéologiques que de son état qualitatif et quantitatif. En un point quelconque plusieurs masses d’eau peuvent se superposer.