Modèles Numériques de Terrain (MNT) réalisés par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane sur les sites de l'île de Cayenne en 2020. A partir de survol drone, des images aériennes sont acquises pour créer un MNT, autrement dit, une représentation 3D de la surface de la plage.

Service WFS - État des levés du trait de côte en novembre 2020, sur le secteur de l'Île de Cayenne. Relevés réalisés par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. Le trait de côte se définit comme étant la limite entre le haut de plage et l’arrière-plage. Cette limite peut être matérialisée par : le pied de la micro-falaise si un front d’érosion est présent ; le pied de l’aménagement si un ouvrage est présent ; la limite de végétation et/ou la limite de laisse de mer. La fréquence d’acquisition prévue dans le cadre de l’observatoire de la dynamique côtière est de type annuel, vers le mois d’octobre (saison sèche).

Service WFS - État des levés du trait de côte en novembre 2021, sur le secteur de l'Île de Cayenne avec un levé supplémentaire réalisé en juillet 2021 sur la plage de montjoly. Relevés réalisés par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. Le trait de côte se définit comme étant la limite entre le haut de plage et l’arrière-plage. Cette limite peut être matérialisée par : le pied de la micro-falaise si un front d’érosion est présent ; le pied de l’aménagement si un ouvrage est présent ; la limite de végétation et/ou la limite de laisse de mer. La fréquence d’acquisition prévue dans le cadre de l’observatoire de la dynamique côtière est de type annuel, vers le mois d’octobre (saison sèche).

Orthophotographies, Kourou - zone 1 à 12, mars 2018, réalisées par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. A partir de survol drone, des images aériennes sont acquises pour créer des Orthophotographies et in fine des Modèles Numériques de Terrain (MNT). En 2016 et 2017, le suivi par drone allait jusqu’à l’extrémité du centre hippique au nord-ouest de la plage de la Cocoteraie. Néanmoins pour comprendre la dynamique de la plage, il est nécessaire de suivre l’ensemble de la cellule sédimentaire entre la pointe Pollux et la pointe Charlotte. L’emprise a donc été étendue et découpée pour des raisons techniques en 12 zones de 400 mètres de long et de 150 mètres de large.

Modèles Numériques de Terrain (MNT), Kourou - zones 1,2,7, en Aout 2020, réalisées par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. A partir de survol drone, des images aériennes sont acquises pour créer des Orthophotographies et in fine des Modèles Numériques de Terrain (MNT). En 2016 et 2017, le suivi par drone allait jusqu’à l’extrémité du centre hippique au nord-ouest de la plage de la Cocoteraie. Néanmoins pour comprendre la dynamique de la plage, il est nécessaire de suivre l’ensemble de la cellule sédimentaire entre la pointe Pollux et la pointe Charlotte. L’emprise a donc été étendue et découpée pour des raisons techniques en 4 zones.

Service WFS - Occupation du sol sur l'ensemble du territoire de la Guyane en 7 classes et 13 catégories, pour l'année 2001. Travail réalisé dans le cadre du projet ECOSEO, Observatoire de services écosystémiques du Plateau des Guyanes. Projet coordonné par le Bureau Guyane du WWF France et co-financé par l'Union Européenne via le Programme de Coopération Interreg Amazonie. Cartographie d'occupation du sol 2001 réalisée par l'ONF Guyane. Coordination technique et cartographie de changement réalisée par l'ONF international.

Service WFS - Limite de la position des bancs de vase le long du littoral guyanais en 2021. Cette limite est estimée à partir de l'indicateur d'atténuation de la houle visible via les images satellites Sentinel 2 d'une résolution de 10m.

État des levés du trait de côte en octobre 2018, sur le secteur de Awala-Yalimapo. Relevés réalisés par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. Le trait de côte se définit comme étant la limite entre le haut de plage et l’arrière-plage. Cette limite peut être matérialisée par : le pied de la micro-falaise si un front d’érosion est présent ; le pied de l’aménagement si un ouvrage est présent ; la limite de végétation et/ou la limite de laisse de mer. La fréquence d’acquisition prévue dans le cadre de l’observatoire de la dynamique côtière est de type annuel, vers le mois d’octobre (saison sèche).

L’entité hydrogéologique est une partie de l’espace géologique, aquifère ou non aquifère, correspondant à un système physique caractérisé au regard de son état et de ses caractéristiques hydrogéologiques. L’entité hydrogéologique doit être appréhendée au sens systémique et correspond à un découpage de l'espace géologique réalisé à un stade donné des connaissances en particulier pour les systèmes profonds. La constitution des entités hydrogéologiques est issue de la connaissance à une date donnée du milieu souterrain (carte géologique, coupe géologique, log géologique, schéma structural et carte piézométrique). Les entités hydrogéologiques peuvent être multipartie. Les entités hydrogéologiques couvrent la totalité du territoire assurant une relation horizontale et verticale des entités en respect du principe de complétude. Une entité hydrogéologique est une partie de l'espace géologique : - délimitée à une certaine échelle (niveau d'utilisation) - rattachée à un type de formation géologique (thème) - définie par ses potentialités aquifères (nature) - caractérisée par un type de porosité (milieu) - caractérisée par la présence ou non d'une nappe, qui peut être libre, captive ou libre et captive (état) Elles ont été définies selon des règles élaborées dans le cadre d'une méthodologie nationale commune et validée par un comité de pilotage national sous la responsabilité du ministère en charge de l'environnement. Une entité hydrogéologique sera représentée par sa projection orthogonale au sol. L’échelle de référence est le 1/50 000ième, c’est à dire l’échelle du référentiel national géologique. Chaque entité possède un code qui est attribué par le BRGM (arrêté du 26 juillet 2010, SNDE). D'après Sandre, dictionnaire du référentiel hydrogéologique SAQ version 2.2

Service WFS - État des levés du trait de côte en novembre 2020, sur le secteur de Kourou. Relevés réalisés par l’Observatoire de la Dynamique Côtière de Guyane. Le trait de côte se définit comme étant la limite entre le haut de plage et l’arrière-plage. Cette limite peut être matérialisée par : le pied de la micro-falaise si un front d’érosion est présent ; le pied de l’aménagement si un ouvrage est présent ; la limite de végétation et/ou la limite de laisse de mer. La fréquence d’acquisition prévue dans le cadre de l’observatoire de la dynamique côtière est de type annuel, vers le mois d’octobre (saison sèche).