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2019

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  • Environmental DNA metabarcoding has recently emerged as a non destructive alternative to traditional sampling for characterising species assemblages. We here provide a consistent dataset synthetizing all eDNA sampling sites in French Guiana to date. We also provide a taxon by site matrix for fishes presence / absence as inferred from eDNA. Our aim is to allow a transparent communication to the stakeholders, and provide the foundation for a monitoring program based on eDNA.

  • Guyadiv is a network of permanent forest plots set accross French Guiana. The Guyadiv plots in Nouragues last field sensus 1992; dbh min 10 cm ; 5 transects 500 x 20m + 1 transect 750 x 40m in 3 segments

  • L'AUDeG a édité un atlas cartographique des potentiels fonciers (disponible en libre téléchargement sur son site web : www.audeg.fr/ressources/zoom_ressource.asp?id=165&srub=3&ssrub=1). Cet atlas permet de répérer et de qualifier les gisements fonciers. La méthologie de l'AUDeG a été développée à partir de la base de données des tissus urbains (elle-même élaborée par croisement des fichiers fonciers, de la BD topo et du cadastre), des documents d'urbanisme et des plans de prévention des risques disponibles sur le territoire. Les traitements ont abouti à l'identification des deux types de potentialités (dents creuses et fonds de parcelles) différenciées selon leur destination (habitat ou activité). S’il présente l’avantage de pouvoir se faire une idée globale des potentiels de densification à l’échelle de tout le territoire et en distinguant vocation résidentielle et économique, le travail de l’AUDeG présente toutefois certaines limites. Elles sont d’une part liées aux bases de données sollicitées et d’autre part, aux choix méthodologiques. Bases de données Les dessins des bâtis du cadastre et de la BD topo sont incomplets et ne correspondent pas forcément aux contours réels des bâtiments. Ces biais peuvent non seulement fausser la détection des parcelles non bâties mais également les calculs de coefficient d’emprise au sol et de position du bâti. La trame parcellaire des communes de l’intérieur et du fleuve (Grand-Santi, Maripasoula, Saül) n’est pas aussi fine que celle des communes du littoral. Plus la maille est grossière, plus le repérage des potentialités foncières est imprécis Bien que l’échéance du 1er janvier 2020 approche et avec elle, l’obligation pour les collectivités territoriales de publier les versions consolidées et standardisées de leurs documents d’urbanisme sur le géoportail de l’urbanisme, il subsiste en Guyane, des difficultés à obtenir les zonages règlementaires en vigueur et à en suivre les modifications. De plus, les communes dépourvues de document d’urbanisme n’ont pas pu être traitées dans cette étude (Papaïchton, Apatou, Saint-Élie, Régina, Ouanary, Camopi). Ainsi, 16 communes sur 22 ont été analysées dans la présente étude. Par ailleurs, il n’existe pas encore de base de données consolidée recensant les servitudes d’utilité publique. S’agissant des données altimétriques, l’AUDeG ne disposait pas d’une couverture intégrale de la Guyane. Il en résulte que le calcul des pentes n’a pu se faire que sur Saint-Laurent, Mana, Kourou et les communes de la CACL (Cayenne, Rémire-Montjoly, Matoury, Macou-ria, Montsinéry-Tonnégrande et Roura). Enfin, les données socle de ce travail sont de 2017, ainsi certaines des potentialités repérées peuvent ne plus être d’actualité aujourd’hui. Méthode Pour ce qui est de la méthode, le fait de raisonner à la parcelle et d’appliquer des seuils de surface et de compacité a entrainé la mise à l’écart de parcelles de petite taille mais qui, du fait de leur contiguïté, peuvent faire l’objet de remembrements. Les grands tènements (plus de 5 000 m²) n’ont pas non plus été considérésen raison de la difficulté à les rattacher à un type de tissu et du fait que leur mobilisation relevait plus de l’extension que de la densification.

  • Service WFS - État de l'occupation du sol sur la bande littorale guyanaise en 2015 par photo-interprétation d'images satellites et aériennes et actualisation de la couche d'occupation du sol 2011.

  • Service WFS - Dents creuses identifiées pendant le recensement des parcelles comportant des logements insalubres sur le centre-bourg de Saint-Georges de l'Oyapock. Le périmètre d'enquêté concerne le centre-bourg et les quartiers périphériques. Le rapport d'analyse contenant une analyse générale sur la commune et des fiches signalétiques illustrées pour chaque parcelle est disponible en téléchargement sur le site de l'AUDeG : http://www.audeg.fr/ressources/zoom_ressource.asp?id=54&srub=3&ssrub=1

  • Service WFS - Les installation classées pour la protection de l'environnement (ICPE) regroupe toute exploitation industrielle ou agricole susceptible de créer des risques ou de provoquer des pollutions ou nuisances, notamment pour la sécurité et la santé des riverains. Les activités relevant de la législation des installations classées sont énumérées dans une nomenclature qui les soumet à un régime d’autorisation ou de déclaration en fonction de l’importance des risques ou des inconvénients qui peuvent être engendrés : Déclaration : pour les activités les moins polluantes et les moins dangereuses. Une simple déclaration en préfecture est nécessaire Enregistrement : conçu comme une autorisation simplifiée visant des secteurs pour lesquels les mesures techniques pour prévenir les inconvénients sont bien connues et standardisées. Ce régime a été introduit par l’ordonnance n°2009-663 du 11 juin 2009 et mis en œuvre par un ensemble de dispositions publiées au JO du 14 avril 2010. Autorisation : pour les installations présentant les risques ou pollutions les plus importants. L’exploitant doit faire une demande d’autorisation avant toute mise en service, démontrant l’acceptabilité du risque. Le préfet peut autoriser ou refuser le fonctionnement. La base contient les installations soumises à autorisation ou à enregistrement ainsi que les installations à déclaration qui ont été renseignées dan le système d'information de l'inspection des installations classées (en construction, en fonctionnement ou en cession d'activité).

  • Prise en considération, dans le cadre du projet d'aménagement de la RN1 entre l'échangeur de Balata et le carrefour avec la RD51, comprenant le doublement du pont du Larivot. Un sursis à statuer de deux ans pourra être opposé aux déclarations ou demandes d’autorisation concernant les travaux, constructions ou installations situés dans le périmètre de prise en considération dans les formes prévues à l’article L. 424-1 du code de l’urbanisme. Conformément aux dispositions de l’article L. 422-5 du code de l’urbanisme, les maires de Matoury et de Macouria, compétents pour la délivrance des autorisations, devront recueillir l’avis conforme du représentant de l’État sur tout projet situé dans le périmètre de prise en considération. Par ailleurs, les gestionnaires de la voirie, qu’elle soit départementale ou communale, devront recueillir l’avis du représentant de l’État sur tout projet et demande d’autorisation de voirie situés dans le périmètre de prise en considération. Périmètre approuvé par l'arrêté préfectoral R03620196056236004

  • Réalisation d'une image Optique Sentinel 2 en couleurs naturelles libre de nuages générées sur la période d'août à novembre 2018 pour tout le département de la Guyane. Cette production s'appui sur des scripts développés sur la plateforme Google Earth Engine.

  • Service WFS - Bati spontané du quartier Baka Pasi à Saint-Laurent du Maroni 2015 vectorisé à partir d'images satellites fournies par l'EPFA Guyane

  • Service WFS - Zones de présomption archéologique de la commune de Cayenne approuvée par arrêté préfectoral n°2019-54 du mercredi 14 août 2019. Les zones de présomption de prescription archéologique (ZPPA) permettent d'alerter les aménageurs sur les zones archéologiques sensibles du territoire et qui sont présumées faire l'objet de prescriptions d'archéologie préventive. Ces ZPPA sont des zones dans lesquelles les travaux d'aménagement soumis à autorisation d'urbanisme (permis de construire, permis d'aménager, permis de démolir) et les zones d'aménagement concertées (ZAC) de moins de trois hectares peuvent faire l'objet de prescriptions d'archéologie préventive. Les ZPPA figurent dans le porter à connaissance réalisé par les services de l'État pour la conception des documents de planification du territoire (PLU, SCOT). Les zones de présomption de prescription archéologique sont, pour le public, un outil d'information et, pour la DRAC, un outil de recrutement des dossiers d'aménagement.